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Max Bruch

1838 - 1920

A l’exception de son Concerto pour violon n°1, la musique de Max Bruch n’a que très rarement l’occasion d’être présentée aux mélomanes. La faute sans doute à un style trop académique, où la forte influence de Brahms finit par étouffer l’inspiration de leur auteur. De son vivant, la carrière de Bruch fut cependant des plus honorables. Elève notamment de Carl Reinecke ou Ferdinand Hiller, il obtient en 1863 un premier succès avec la création de son opéra Die Loreley, bientôt suivi par celui de son fameux concerto pour violon. Le patriotisme de son oratorio Arminius (1875) lui vaut d’être souvent repris dans ses années où la nation allemande s’affirme et se développe. Reconnu autant pour la qualité de sa musique chorale que pour ses qualités de chef d’orchestre, il est invité jusqu’en Grande-Bretagne pour un long séjour à Liverpool durant lequel naîtront la Fantaisie écossaise pour violon et orchestre et Kol Nidrei pour violoncelle et orchestre, et même jusqu’aux Etats-Unis où est créée sa Symphonie n°3. De retour en Europe, il se fixe à Berlin où il devient professeur de composition à l’Ecole supérieure de musique de la ville. Comme Brahms avant lui, il puise dans le chant de la clarinette un regain d’inspiration lors de ses dernières années avec notamment le Concerto pour clarinette et alto opus 88 et les Huit pièces pour clarinette, alto et piano opus 83, sans nul doute sa meilleure œuvre de musique de chambre.

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Max Bruch
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